Cabinet de curiosité
L'humain a toujours eu un certain attachement aux objets, et par ce fait exploité la nature.
Dès la préhistoire, l’homme a taillé les roches, pratiqué la cueillette et la pêche. L’homme a toujours été en quelque sorte un « collectionneur. »
Qui n a jamais eu un tiroir à trésors, fait une collection de cailloux dans l enfance, ou ramener des objets merveilleux lors de ballades dans la nature, branches, fleurs, feuilles étranges ?
Cueillir une fleur et en observer les pistils, les pétales et ses feuillages. Ramasser un cailloux qui scintille, toucher une feuille à l aspect d une fourrure naturelle et rugueuse, s émerveiller des couleurs des plantes, de la finesse des ses tiges qui résistent aux humeurs des vents…
La nature nous propose tellement de formes, de couleurs, de concepts infinis, que ce soit dans le monde végétal, animal ou minéral.
Avec le temps, on a appris à exploiter davantage notre environnement. Ce qui nous a amené à vouloir en savoir plus…
C'est à partir du moyen âge que l on va commencer à officialiser des endroits, destinés à rassembler ces objets, que l on va nommer : cabinets de curiosités, ou studiolo en Italie, cela ne signifie pas qu'il contient des objets étranges mais plutôt des « études ».
On va à cette époque sortir un peu des croyances pour étudier non plus ce que « Dieu » nous offre, mais ce que la « nature» nous offre.
La science, opposée à l église va peu à peu pousser l étude du milieu dans lequel on évolue.
Léonard de Vinci en est un des précurseurs et un des exemples le plus connu.
Les scientifiques vont étudier, observer, classifier, dessiner, répertorier, autopsier, disséquer.
La curiosité et la recherche va croître de plus en plus, aidée par la vulgarisation de l écriture.
Au fil des ans, les technologies vont s immiscer dans les cabinets de curiosités comme la photographie, les microscopes; les techniques vont se développer pour permettre une augmentation significative de l’observation des plantes entre autres, et de toutes sortes d‘analyses.
Finalement, ces cabinets de curiosités prendront de plus en plus de place et deviendront les musées d aujourd’hui.
Les scientifiques vont créer de nouvelles méthodes de conservation, comme les herbiers, ou des méthodes de conservation dans des fioles destinées à cet effet.
Slow pharmacy a décidé d en faire autant, capturer dans la nature la plante lorsqu'elle est au plus haut de son épanouissement et la maintenir en toute transparence dans une fiole qui va nous permettre de l observer sans qu'elle ne se détériore.
Slow Pharmacy a le secret, pour que les plantes ne s altèrent pas. Ni leur couleur, ni leur forme. Ils les ont classifiés et les ont étiqueté discrètement une à une. Chacune est unique, différente.
De leur plus bel effet, les plantes de Slow Pharmacy ont toute leur place dans un cabinet de curiosité.
Pourquoi ne pas créer vôtre cabinet de curiosités Slow Pharmacy à présent ?
Pour représenter ce qui nous ressemble, on commence par choisir un support, soit un mur avec cadres et étagères ou une bibliothèque, ou encore une vitrine.
Il suffit alors de disposer de manière harmonieuse des objets auxquels on tient.
Le principe d un cabinet de curiosité est d'y inclure des éléments naturels, par exemple un cadre avec des papillons de couleurs, des geodes ou toutes sortes de végétaux avec les fioles de Slow Pharmacy, ou plantes séchées.
L important c est que rien ne s altère avec le temps, et que ce que l on y expose permette de transmettre, décorer, et de s émerveiller.
Les fioles de plantes uniques de slow pharmacy sont des exemples parfait à déposer dans un cabinet de curiosité.